Ce livre se penche sur le formidable foisonnement culturel, l’élan de modernité et les aspirations progressistes qui valurent aux années qui suivirent la Première Guerre mondiale leur surnom d’années folles, tout en interrogeant la portée et l’ambiguïté des phénomènes alors en cours. Il y est bien sûr question à de nombreuses reprises de cinéma, à la fois comme art et comme industrie, comme divertissement de masse et comme média.