Cette Journée d’étude propose d’engager une réflexion sur l’articulation des matières visuelles et des procédés narratifs qui font le fantastique, à la faveur de deux figures, l’ellipse et l’excès, partant que le fantastique cinématographique se nourrit d’une tension entre le montré et l’inmontré, la retenue et le débordement, l’ordre et le désordre, l’épure et l’excès.