“Ce livre interroge les conditions de visibilité/invisibilité de la catastrophe de Fukushima (11
mars 2011) dans les films tournés sur place en 2011/2013. Il retourne la thèse de l’impossible
représentation de la catastrophe nucléaire. L’hypothèse est ici que « Fukushima » ouvre sur un
monde durablement abîmé qui requiert de nous de nouvelles capacités d’attention et de présence au monde. Et que les films peuvent nous y éduquer.” (J. Lemière, programme Citéphilo 2022)

Par Domenach

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