Ce cinéma a pu être nommé cinéma indépendant, autonome ou
guérilla, films pauvres, sauvages ou de contrebande. Nous
souhaitons, lors de cette journée d’études, interroger comment
définir cette façon de faire du cinéma, et sa possibilité
d’existence, en France aujourd’hui, tant les termes choisis
peuvent délégitimer ou réduire cette démarche singulière, et
les cases institutionnelles et commerciales ne pas répondre à leur
projet.

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