Partant de l’idée que le cinéma constitue une ressource imaginaire pour la socialité, il s’agira de définir les contours d’une approche historique attentive à la sensibilité sociale des cinéastes et spectateurs à une époque donnée, permettant de comprendre les films au prisme du collectif qu’ils figurent et de la scène imaginaire de sociabilité qu’ils proposent. La recherche porte sur le cinéma français de l’après-guerre.