Le 9 novembre 1918, Guillaume Apollinaire nous quittait. À l’occasion du centenaire de la disparition de cet immense poète, Carole Aurouet appréhende un aspect peu exploré de son œuvre : le cinéma.
Précieusement conservés à la Bibliothèque littéraire Jacques Doucet, ces documents extraordinaires sont pour la première fois reproduits en fac-similés et nous offrent tous les détails du travail d’Apollinaire – mots raturés, soulignés, suppressions, ajouts.