Le propos de cet ouvrage est de considérer la présence de quelques formes géométriques dans le cinéma de fiction, non pas tant pour leur fonction narrative ou ornementale, qu’à proportion des connexions qu’elles engagent avec l’histoire et la théorie de l’art.
Nous supposons que ces modules géométriques sont les indices de problèmes de représentation plus ou moins anciens dont les films se ressaisissent trouvant, dans la fiction, le moyen de remettre en jeu (en scène) leur histoire.