Il s’agira d’explorer ce pan méconnu de l’œuvre, qui va bien au-delà du fantastique et de l’horreur (on oublie que le deuxième long métrage de Romero, There’s Always Vanilla de 1971, est une comédie romantique), et de sortir de l’ornière idéologique et politique – en particulier la critique de la société de consommation et du patriarcat – dans laquelle les études consacrées à l’œuvre de Romero ont trop souvent été enfermées.