Parler de téléspectateur à l’heure des récits interactifs et immersifs ou du transmédia a-t-il encore un sens ? Souvent décrit comme un être passif vissé à son canapé, le spectateur serait aujourd’hui actif, opérant des choix entre différentes pratiques de visionnage, entre les chaînes de télévision et les plateformes, et mobile grâce aux dispositifs portables. Dans quelle mesure cette perméabilité des situations transforment-elles la notion ancienne de téléspectateur?