Souvent, et injustement, mal aimé, “Pas de printemps pour Marnie”, sorti en 1964, est envisagé dans cette étude sous l’angle de l’espace et du rapport qu’entretient avec lui l’héroïne, Marnie. Le maître mot de ce rapport pourrait bien être la claustrophobie. Espaces physique, cinématographique, mental : pour Marnie c’est tout un.