Alors que l’industrie cinématographique française avait désinvesti certains genres, comme le fantastique, l’horreur ou la science-fiction, le tournant des années 2000 semble annoncer une transformation de l’offre hexagonale avec l’arrivée d’une flopée de films explorant ces esthétiques. Grâce à l’étude des partenariats financiers d’un corpus de film et une série d’entretiens semi-directifs, cette communication se propose d’explorer ces stratégies, leurs objectifs, comme les contraintes.