Écrit à la première personne, cet essai
transgresse au moins trois tabous : il fait fi
de la séparation académique entre la
recherche et la vie personnelle, passe
allègrement du savoir à la littérature, et se
moque du caractère privé (donc
prétendument apolitique) de toute
préférence érotique.
Mais Noël Burch utilise son érudition
cinématographique et son intelligence des
fantasmes pour élucider la nature de cette
forme d’érotisme, à ne pas
confondre avec le sadomasochisme.