Les représentations a posteriori — romans, nouvelles, films, œuvres théâtrales, peintures, œuvres plastiques, bandes dessinées— de la Première Guerre mondiale sont nourries d’imaginaires singuliers et intimes, que l’histoire n’a pas nécessairement voulu ou su interpréter pour ne pas faillir aux orientations d’une thèse, sinon dominante, du moins majoritairement partagée au moins jusqu’aux années soixante, celle du consentement patriotique des combattants. […]